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Blagues d'autrefois

Blagues appréciées

Naissance extraordinaire

 
Le nouveau papa blanc entre dans la chambre de la jeune maman  blanche et qui vient d'accoucher : l'enfant dans le berceau est tout... noir.
Devant la mine interloquée de son mari, la maman s'explique :
- Mon amour, je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant est noir. Tu sais que quand j'étais petite, mon père travaillait en Côte-d'Ivoire comme coopérant à Grand-Bassam, et ma mère avait choisi une nourrice noire Lili. Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
- Ah bon ? C'est pour ça ?
Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l'enfant à sa propre maman.
- Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu'il te ressemble ?
- Je suis l'homme le plus heureux de la terre, mais bon, il est juste heu.. Hum, bon à vrai dire, il est noir... Mais j'ai l'explication... Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d' Ivoire comme coopérant, et sa mère avait choisi Lili, une nourrice noire. Les gènes de son lait sont passés dans son sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
- Ah oui, je comprends. C'est comme pour toi quand tu étais bébé, je t'ai nourri au lait de vache, les gènes ont dû passer dans ton sang et c'est pour ça que tu as des cornes, idiot !



Histoire de bas

Quand je me suis mariée, le soir de notre mariage, mon mari était si pressé que je n'ai pas eu le temps d'ôter mes bas. Et maintenant, tenez-vous bien, j'aurais largement le temps d'en tricoter une paire !
 


Un homme dans l'armoire

C'était un homme du coin. Il a été obligé de partir pour deux jours.
Pendant ce temps sa femme reçut un de ses copains. Eh bien ! c'est pas un drame, non !
Seulement son mari revient plus tôt qu'il avait dit. Il entre. Le copain a eu juste le temps de se mettre dans l'armoire. Brusquement l'enfant crie :
- Papa, papa, viens vite, il y a un monsieur dans l'armoire !
Son père ouvre l'armoire et voit son copain nu comme un ver.
- Oh quand même ! Tu n'avais pas besoin de te mettre dans cet état pour faire peur au petit !
 


Au confessionnal

Un paysan va se confesser.

- Excusez-moi, mon père, je suis plein de péchés, mais surtout j'ai un gros péché qui me pèse sur la conscience.
- Racontez-moi, mon fils.
- J'ai volé 50 fagots, mon père.
- O mon fils, c'est très grave.
- Oui, mais mettez-en 100 parce que j'ai envie d'aller chercher les autres.



Au confessionnal

- Mon père, je m'accuse d'avoir commis le péché de chair.
- Mon fils, c'est très grave ! Mais c'est bien de s'en confesser. Et combien de fois l'avez-vous fait ?
- Mon père, je ne suis pas ici pour me vanter.
 


Le plat de haricots

Ils étaient mariés depuis 20 ans. Et un jour la femme dit à son mari :
- Tu devrais me dire combien de fois tu m'as faite cocue dans la vie.
- Oh ! C'est bien simple. A chaque fois je mettais un haricot de côté. Et toi combien de fois tu m'as trompé ?
- Et moi aussi je mettais un haricot de côté.
- Alors on va les compter.
Ils les ont comptés. C'était à peu près équivalent. Seulement elle ajoute :
- Chaque semaine je t'en faisais cuire un plat.


L'heure nouvelle du docteur

Ce récit fait allusion au changement d'heure...En 1946 l'heure d'été était appliquée, elle a été remise en 76.

Minuit sonnait. Il pleuvait, le vent soufflait...
Le bon docteur tranquillement ronflait. Il était tellement fatigué de courir et d'entendre gémir, que sitôt dans le lit il ne pouvait plus remuer.
- Oh le sale métier. Si la nuit nous appartenait totalement et qu'en dormant je puisse faire le tour de la montre ! Mais je ne sais pas d'où ça vient, les petits bébés font comme les lapins : ils ne sortent que la nuit...
Pan pan pan !!!
Quelqu'un frappa à la porte. M. M. répondit par un grognement. Je n'en suis pas bien sûr, mais je crois qu'il dit le mot que Cambronne aux anglais répondit.
Il se leva tout de même, enfila son pantalon, revêtit son gilet et prit son chapeau. Il s'en alla demander qui frappait à la porte si tard.
Il ouvrit. Dans le vent et la pluie, un pauvre homme attendait, trempé comme un canard.
- Si vous êtes venu me chercher par ce beau temps, c'est pas pour pour un petit mal de tête ou de dents !
- Oh non, monsieur ! C'est pour ma femme qui est au lit; elle souffre depuis hier et de plus en plus. Elle se plaint à tout moment du mal de ventre; et de l'entendre crier vous ferait venir fou. Je vous aurais bien épargné cette sotrie nocturne, mais si vous ne venez pas maintenant, monsieur, demain elle sera morte.
- Oh, c'est pour un accouchement... J'en suis sûr !
- Oh, non. Il y a eu seulement six mois la semaine dernière, que ma pauvre Marie et moi, nous nous sommes mariés.

Ils partirent tous les deux, sous la pluie qui tombait. L'auto, comme le vent sur les chemins soufflait.
- C'est là, à cette maison où vous voyez la lumière par la petite fenêtre.

Ils entrèrent.
Mordant son mouchoir, une femme épuisée et en larmes criait :
- Je n'y tiens plus, je passerai pas la nuit...
Mais le docteur qui avait maintenant les yeux bien ouverts dit :
- Mais non, ce ne sera rien et vous serez bientôt guérie. Deux cris de plus, deux efforts de plus et tout sera fini. Préparez ce qu'il faut pour envelopper le petit.
- Et... Mais... mais balbutia le pauvre homme auquel le médecin conseilla de boire deux doigts de rhum. Je n'y comprends rien. Je vous ai déjà dit que nous sommes mariés depuis seulement six mois.
- Et vous ne savez pas mon brave, que c'est l'heure nouvelle qui a tout changé ? Si vous allongez chaque jour de deux heures de plus, au lieu de balbutier sottement !!! Comptez bien, combien ça fait de jours et de semaines en plus ?
- Mais vous avez raison docteur, vous êtes un grand médecin.
La femme ne disait plus rien, mais ses yeux disaient merci...
L'enfant vint au monde. Dehors il ne pleuvait plus, le soleil se levait déjà et comme c'était au mois d' Avril, le coucou chantait.


Madagascar : le conseil de révision


Aviá vint ans passats tot justa. Lo factor me portet un pauc de papieto. Qu’es que dins nostre temps sabiàm pas legir.Vau trobar mossur nostre maira que me dissét :

- Oc, Baptistou, te caudrà venir lo dijòs de l’autre setmana a la sala de mereriá del canton e te farem subir lo sort. Quand aquel dijòs fuguet vengut, me lavèri coma cal, las mans e la figura, e me penchenèri. Que faguèri ben, que quand entrèri dins aquela sala, i aviá mossur nostre maira, lo prefect, lo jos-prefect, lo deputat, lo senator, e tot un tas d’òmes abilhats de blu que me diguèren apres que qu’eran deus gendarmas.

- Baptistou ! que me fagueren.

- Present, mossur.

Anedonc me fagueren saussar la man dins un pauc de biaça. E n’en sortéri un petit carrat d’estòfa.

- Baptistou ! - Présent, mossur !

- Avetz lo numerò onze !

- Botam zo, mossur, botam zo. Mas que voletz que quò me fasse !

Se passet benleu sieis mes, e te reçebi un autre papieto. E coma lo prumier còp torni trobar mossur nostre maira que me diguet :

- Baptistou, quò es per passar lo conselh de revision.

- Lo conselh de revision ?  Grand Diu, e qu’es aquò ?

- Oc, te caudrà venir lo dijòs de l’autre setmana a la sala de merariá del canton, e te farem passar lo conselh de revision.

Quand aquel dijòs fuguet vengut, braves gents, faguèri coma lo prumier còp. Me lavèri coma cal la figura, las mans. Me penchenèri et per un còp me lavèri los pès. E que faguèri ben, que dins la sala i aviá coma lo prumier còp lo prefect, lo jos-prefect, lo deputat, lo senator, e tot un tas d’aquels òmes abilhats de blu, que qu’eran deus gendermas.E dins lo mitan aqui i aviá un tas d’òmes tots nuds, mas nuds coma deus vedels sus la fiera.

- Baptistou ! que me fagueren.

- Present, mossur !

- Déshabillez-vous !

- E mas li pensatz pas, mossur ! Ma paubra maire que me disiá totjorn :

- Baptistou, braja te ! Fase pas veire ton pauc de misera !

- Baptistou, pour la seconde fois, déshabillez-vous !

- E , mas, mossur, barratz solament aquela bela porta que si madama la prefecta veniá…

- Baptistou, pour la troisième fois, déshabillez-vous !

E paubre monde, quand pausèri la camisa, tot me tramblava. Quò es quand vòugueren me mesurar quò es aqui que quò fasiá brave. Me ratatinavi, me ratatinavi… Anedonc un d’aqueus òmes abillats de blu me passet son baston blanc sus lo ventre. N’en faguèri un bond al risca de tot lor esbolhar.

- Espèce de brute ! que me faguèren. Podetz pas far un pauc atencion !

- Botam zo, mossur, botam zo, mas vostre affar aqui quò es freg !

- Baptistou !

- Present, mossur !

- Vous êtes bon pour le service !

- Botam zo, mossur, botam zo, que voletz que quò me fase ?

- Vous pouvez vous habiller !

E, paubre monde, talament m’en cochavi que n’en trobavi pas los botons de la brageta. Mas a qauque temps d’aqui comprenguèri ço que aquò voliá dire. Portiguèri cinq ans a Madagascar. Paubre monde, li frosavi pas dins aquel país de sauvatges qu’eran tot negres coma lo tiol de l’ola que ma maire botava al fuec tots los jorns.


TRADUCTION : J’avais tout juste vingt ans quand le facteur m’a apporté un bout de papier. 

Autrefois nous ne savions pas lire. Je vais trouver Monsieur notre Maire qui me dit :

- Oui, Baptistou, il te faudra venir, le jeudi de l’autre semaine, à la salle de la mairie du canton, et on te fera tirer au sort.

Quand ce jeudi-là est arrivé, je me suis lavé comme il faut les mains et la figure, et je me suis peigné, et j’ai bien fait parce que, quand je suis rentré dans cette salle, il y avait Monsieur notre Maire, le préfet, le sous-préfet, le député, le sénateur, et tout un tas d’hommes habillés de bleu. On m’a dit après que c'étaient des gendarmes.

- Baptistou ! qu’ils m'ont fait.

-  Présent, Monsieur !

Alors ils m'ont fait mettre la main dans un petit sac et j'en ai sorti un petit carré d'étoffe.

- Baptistou !

- Présent, monsieur !

- Vous avez le numéro 11.

- Soit, monsieur, soit. Mais qu’est ce que vous voulez que cela me fasse ?

Il se passa à peu près six mois, et je reçus un autre bout de papier. Et comme la première fois je reviens trouver monsieur notre maire qui me dit :

- Baptistou, c’est pour passer le conseil de révision.

- Le conseil de révision ? Grand Dieu ! Et qu’est ce que c’est que ça ?

- Oui, il te faudra venir le jeudi de l’autre semaine à la salle de la mairie du canton, et on te fera passer le conseil de révision.

Quand ce jeudi est arrivé, braves gens, j’ai fait comme la première fois, je me suis lavé comme il faut, la figure, les mains, je me suis coiffé. Et pour une fois je me suis lavé les pieds. Et j’ai bien fait parce que dans la salle il y avait comme la première fois, le préfet, le sous-préfet, le député, le sénateur, monsieur notre maire, et tout un tas de ces hommes habillés de bleu, c'étaient des gendarmes. Et au milieu, là, il y avait un tas d’hommes tout nus, mais nus, comme des veaux sur la foire.

- Baptistou ! qu’on m’a fait.

- Présent, monsieur !

- Déshabillez vous !

- Eh bien ! Vous n’y pensez pas, monsieur ? Ma pauvre mère me disait toujours : - Baptistou, mets tes culottes, ne fais pas voir ton  peu de misère.

- Baptistou, pour la seconde fois, déshabillez-vous !

- Eh ! mais, monsieur, fermez seulement cette grande porte, que si madame la préfète venait…

- Baptistou, pour la troisième fois, déshabillez-vous !

Ah ! Pauvres gens ! Quand j'ai enlevé ma chemise, je tremblais de partout. Mais quand ils ont voulu me mesurer, alors là ça faisait joli ! Je me ratatinais, je me ratatinais…A ce moment-là, un de ces hommes habillés de bleu m’a passé son bâton blanc sur le ventre. J’en ai fait un bond au risque de tout leur démolir !

- Espèce de brute ! qu’ils m’ont fait. Tu peux pas faire un peu attention !

- Soit, monsieur, soit, mais votre affaire, là, c'est froid !

- Baptistou !

- Présent, monsieur !

- Vous êtes bon pour le service !

- Soit, monsieur, soit, qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ?

- Vous pouvez vous habiller.

 

Eh ! pauvre monde, je voulais faire tellement vite que je n'en trouvais pas les boutons de la braguette.

Mais quelque temps plus tard je compris ce que cela voulait dire. Je suis parti cinq ans à Madagascar. Pauvre monde, j’étais pas à l’aise pas dans ce pays où les gens étaient tout noirs comme le cul de la marmite que ma mère mettait sur le feu tous les jours.


Conseil de révision

Un jeune homme va passer son conseil de révision. Vous les femmes, vous ne connaissez pas, mais les hommes, les anciens, savent bien comment cela se passe. Ce jeune homme ne voulait pas faire de régiment et il savait que physiquement on ne lui trouverait rien pour le réformer. Alors il dit au major:
- Monsieur, je n'y vois pas beaucoup.
- Ah ? Tu n'y vois pas beaucoup ? Alors passe dans la pièce à côté.
Dans cette pièce se trouvait un tableau avec d'énormes lettres..

- Alors mon garçon, tu vois bien ces lettres sur le tableau?
- Il y a un tableau ?
- Et le mur mon garçon, tu ne le vois pas ?
- Non, je ne vois pas de mur...
Il fut réformé comme il le souhaitait.
Il revient chez lui et passe l'après midi au cinéma. A l'entracte il va marcher un peu et lorsqu'il revient à sa place il s'aperçoit qu'il y a à côté de lui le major qui lui a fait passer le conseil de révision. Alors le jeune homme se dit que le major risque de le reconnaître.
Il se penche alors vers lui avant de s'assoir :

- Pardon madame, je suis bien dans l'autobus de Montauban ?


Trois frères et une sœur
doivent hériter de leurs parents. Le plus jeune des frères est moine, il a fait vœu de pauvreté....Les autres se partagent sa part. Mais le vœu ne dure pas ! Le jeune moine reprend la vie civile, se marie,  mais n'obtient pas de dédommagement. Il n'avait qu'à y penser plus tôt !
La vie reprend son cours et deux des frères achètent en commun une charrue pour économiser. L'un d'eux est l'ancien moine. Deux ans après l'autre frère déménage et demande la moitié du prix de la charrue !
Qu'a fait l'ancien moine devenu plombier, chauffagiste ?
Il a coupé la charrue en deux et en a apporté une moitié à son frère !




Date de création : 25/04/2008 • 17:06
Dernière modification : 21/04/2012 • 12:04
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