Le loup-Noël de Michel Gay
Installés dans un transformateur abandonné de l'EDF les loups regardent au loin dans la vallée. Là-bas des petites lumières de toutes les couleurs clignotent. Ça veut dire que les hommes attendent le Père-Noël.
Les petits Loup-Blanc ne comprennent pas pourquoi le Père-Noël ne vient jamais les voir. leurs parents sont découragés.
Sans rien dire Loup-Blanc part pour la ville. " En auto-stop, ça ira plus vite. " Justement le bruit d'un moteur se précise.
- Ça commence bien, pense Loup-Blanc. Je lève à peine ma main qu'un camion apparaît...
- Mais, mais il veut m'écraser !
- Ouf ! Loup-Blanc a eu le temps de sauter dans les arbres.
Le loup atterrit dans une décharge publique, le derrière sur une botte en caoutchouc.
- Oh, des lunettes noires ! Et là encore une botte...
Il trouve encore quelques objets intéressants...et une bonne idée.
Parfaitement déguisé Loup-Blanc peut prendre l'autocar.
Personne ne fait attention à lui, pas même le chauffeur qui le prend pour un inspecteur.
Enfin arrivé ! Loup-Blanc commençait à avoir mal au cœur avec tous ces virages.
- Ce magasin est très attirant... Mais quelle drôle d'entrée.
- Oh la la, ma tête... ! Vite mes lunettes, mon chapeau et ma botte.
Loup-Blanc n'a jamais vu un cadeau de sa vie.
. Nous avions fait un diaporama avec de belles diapositives sur la nature pour le conte d'Émilie Jolie...Disons que c'était surtout le travail technique de mon mari, mais je donnais pas mal d'idées...
On dit que le film Disney numéro deux sur le " livre de la jungle " n'est pas bon... Pourtant les enfants l'adorent, les tout petits, au point de le réclamer en tapant du pied si on veut leur faire voir autre chose.
Les petits s'identifient facilement à leurs parents. Mon avant dernier petit fils imite dans ses jeux son père. Il lui faut un atelier, de quoi taper, des films comme Bob le bricoleur. Maintenant qu'il va à l'école, à la garderie et au jardin d'enfants, lorsqu'il vient à la maison, il s'assure que je n'ai pas fait disparaître ses jeux favoris. Imaginez la maîtresse lorsqu'il lui a dit : " Mon père tape " !! et il était fier. La maîtresse bien sûr s'est renseignée... " Ne vous inquiétez pas Mme, il tape sur les ardoises de ses toits. "
Pour les jeux, et pour suivre la mode et l'évolution, le mieux, ,je trouve, c'est de choisir dans le domaine création. Par exemple, sur le site de la fnac éveil et jeux
http://www.eveiletjeux.com/
rubrique loisirs créatifs. Les âges sont indiqués. Cela donne des idées. Ils ont des codes pour avoir des réductions ou les frais de livraison gratuits parfois.
Contes :
https://www.youtube.com/watch?v=XeYchaCyVgM
Musique et paroles: Philippe Chatel
1979
Les interprètes:
Le conteur - Henri Salvador
Emilie Jolie - Emilie Jolie
Le lapin bleu - Robert Charlebois
Le grand oiseau - Julien Clerc
L'autruche - Sylvie Vartan
La sorcière - Françoise Hardy
La baleine de parapluie - Isabelle Mayereau
Le hérisson - Georges Brassens
L'extra-terrestre A440 - A440
Le petit caillou - Yves Simon
Le coq - Alain Souchon
L'âne - Laurent Voulzy
Le loup - Eddy Mitchell
Le raton-laveur-rêveur - Louis Chédid
Le prince charmant débutant - Philippe Chatel
Julien Clerc
http://www.youtube.com/watch?v=X6lXZBT749w
LES LAPINS BLEUS :
C'est nous la compagnie des lapins bleus
Aux oreilles tendues et aux yeux malicieux
Notre fleuve préféré, c'est le Danube
Mais notre problème insoluble
C'est qu'on devient tout rouge quand on attrape un rhume
On se cache tous les jours dans des mouchoirs
A carreaux le matin et à rayures le soir
Notre ennemi mortel, c'est l'hiver
Mais notre ami, c'est le soleil
On redevient tout bleu quand il brille dans le ciel
LE CONTEUR :
LES LAPINS BLEUS :
Atchoum!
LE CONTEUR :
Ça y est!
LES LAPINS BLEUS :
Atchoum!
LES LAPINS BLEUS :
C'est nous la compagnie des lapins bleus
Aux oreilles tendues et aux yeux malicieux
Mais que viennent la pluie et l'orage
Notre bonheur fait naufrage
Quand les lapins bleus sont rouges,
Rien ne va plus dans la page
LE CONTEUR :
Émilie est bien ennuyée pour ces lapins bleus...
ÉMILIE :
Je suis bien ennuyée pour ces lapins bleus...
LE CONTEUR :
Qu'est-ce qu'elle pourrait bien faire pour les soigner?
ÉMILIE :
Qu'est-ce que je pourrais bien faire pour les soigner?
LE CONTEUR :
LE LAPIN BLEU :
ÉMILIE :
Moi, je veux bien, mais ça fait beaucoup de baisers ?
LE LAPIN BLEU :
ÉMILIE :
Euh...
LE CONTEUR :
Ça fait trente-six!
ÉMILIE :
Trente-six!
TOUS LES LAPINS :
Bravo!!!
ÉMILIE :
Qu'est-ce qu'il y a, dans la page suivante ?
ÉMILIE :
Je m'appelle Émilie Jolie
Je m'appelle Émilie Jolie
Je voudrais partir avec vous
Tout au bout du ciel
Sur vos ailes
Et je voudrais vivre avec vous ma vie
LE GRAND OISEAU :
Tu t'appelles Émilie Jolie
Tu t'appelles Émilie Jolie
Tu voudrais partir avec nous tout au bout du ciel
Sur nos ailes
Et tu voudrais vivre avec nous ta vie
ÉMILIE :
Oui c'est ça vous m'avez comprise
Alors dite-moi oui...
LE GRAND OISEAU :
Tu t'appelles Émilie Jolie
Tu rêves de voler la nuit
Partir, rejoindre le soleil
Et même la lune
Sur nos plumes
Faire un petit tour
Au paradis
ÉMILIE :
Oui c'est ça vous m'avez comprise
Alors dite-moi oui...
LE GRAND OISEAU :
Mais y' a tant de choses à voir avant
De partir pour le firmament
Y' a tant de pages à tourner
Ta vie ne fait que commencer
Y' a tant de choses à voir avant
De partir pour le firmament
Y' a tant de jours et tant de nuits
Tu es au début de ta vie
ÉMILIE :
J'ai tant de choses à voir avant
Mais n'oubliez pas pour autant
La petite fille aux cheveux blonds
Qui vous a chanté sa chanson
Je m'appelle Émilie Jolie
Je m'appelle Émilie Jolie
CHANSON de l'autruche
Sylvie Vartan
www.youtube.com/watch?v=w46x8pBp-i0
CHANSON de la sorcière
https://www.youtube.com/watch?v=0ByG6ZWe0iY
Le secret de Terabitia ( film )
Cette fille, Leslie, va tirer Jesse de son ennui, elle va réussir à lui rendre le sourire, et on sent entre eux, une vrai complicité...Elle est craquante cette gamine.
Date de sortie cinéma : 28 mai 1959
Réalisé par Antonio Del Amo
Avec Joselito Jiménez "Joselito", Ivy Bless, Archibald L. Lyall
Titre original : Saeta del ruisenor
Long-métrage espagnol . Genre Comédie , Musical
Durée : 01h25 Année de production : 1957
Synopsis : Joselito vit dans une petite ville près de Séville. Cet enfant malicieux possède une voix qui fait l'admiration de tous.
Complétement tombé dans l'oubli aujourd'hui, " Écoute ma chanson " ( également connu sous le titre " L'enfant à la voix d'or ") est sans aucun doute l'un des films cultes du cinéma espagnol. Superbe film qui met en valeur la beauté de la musique espagnole de l'époque, les émotions qu'elle procure. Cette oeuvre met surtout en valeur la voix angélique de Joselito, un jeune chanteur exceptionnel qui fut l'une des vedettes du cinéma espagnol pendant plusieurs années, avant de retomber dans l'anonymat lorsque sa voix a mué. Quand on revoit ce film aujourd'hui, on ressent une certaine nostalgie mêlée à la mélancolie, car on se dit que le cinéma d'hier savait nous enchanter d'une manière différente, avec simplicité mais authenticité. Joselito est vraiment adorable, on s'attache très vite à lui. Comment ne pas frissonner en entendant sa voix ? C'est impossible ! Les autres acteurs sont excellents aussi. L'histoire est très simpe, mais les chansons sont tellement envoûtantes que l'on tombe rapidement sous le charme de ce très beau conte musical. Inconnu aujourd'hui, " Écoute ma chanson " est pourtant un film magnifique qui mérite vivement d'être redécouvert.
Un dessin animé que certains trouvent magnifique et sous-estimé. Il n'est pas chez nous le préféré des enfants ... Sans doute trop adulte pour un Disney.
Les graphismes sont parfait et le scénario est vraiment touchant. A noter le morceau plus que magnifique de la transformation, une des plus belles musiques pour un Disney.
Les grands enfants aimeront cette histoire pleine de bons sentiments...
J'ai eu la chance de découvrir " Frère des ours " au cinéma. Sur grand écran, ce film était merveilleux et envoûtant !
Il y a bien longtemps, dans le Grand Nord, vivaient trois jeunes frères. Kenaï, l'un d'entre eux, allait vivre une aventure initiatique extraordinaire. Par l'intermédiaire d'un sortilège, Kenaï se retrouva un jour transformé en ours... Tout d'abord, c'est le merveilleux scénario riche en rebondissements qui retient l'attention du spectateur. Ensuite, il y a l'époustouflante beauté des dessins qui laisse le spectateur rêveur ( le dessin de la montagne des grands esprits est tout simplement splendide ). Puis, il y a les sentiments différents qui se mélangent en parfaite harmonie : ici, le spectateur a rendez-vous avec la drôlerie, le suspense et l'émotion ainsi que la pincée de magie nécessaire qui transporte chaque spectateur dans un pays merveilleux, où les contes de fées s'animent et prennent vie... Une très belle réussite, qui séduira petits et grands.
Le début peut paraître un peu ennuyeux après on plonge à fond dans l'histoire magnifique !
Titre original : Le Renard et l'Enfant
Réalisation : Luc Jacquet
Scénario : Luc Jacquet et Éric Rognard
Production : Yves Darondeau, Emmanuel Priou et Christophe Lioud
Sociétés de production : Bonne Pioche et France 3 Cinéma en association avec Wild Bunch, avec la participation de Canal+ et avec le support du Conseil général de l'Ain
Société de distribution : Walt Disney Studios Motion Pictures ( France ), Wild Bunch ( ventes internationales )
Musique : Evgueni Galperine, Alice Lewis et David Reyes ( Orchestrateurs: Hervé Jamet et David Reyes )
Photographie : Éric Dumage et Gérard Simon
Montage : Sabine Emiliani
Pays d'origine : France
Langue originale : français
Format : Couleurs - 35 mm
Durée : 92 minutes
Avec Bertille Noël-Bruneau qui interprète le rôle principal de la petite fille, et Isabelle Carré narratrice, petite fille devenue adulte et interprète du film.
Thomas Laliberté : fils de la petite fille devenue adulte
Titus, Sally, Ziza, Scott, Tango et Pitchou : les renards
Kate Winslet : narratrice dans la version anglophone du film
Genre : Aventure : A partir de 6 ans
Année de production : 2007
Un matin d'automne, lors d'une promenade, au détour d'un chemin, une petite fille aperçoit un renard. Immédiatement fascinée par cet animal, elle oublie toute peur, elle ose s'approcher. Pour un instant, les barrières qui séparent l'enfant et l'animal s'effacent. Elle passe alors son temps à le retrouver et tenter de l'apprivoiser. La fillette et le renard se lient progressivement d'amitié, malgré la nature mystérieuse et sauvage de l'animal. C'est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés. Grâce au renard, la petite fille va découvrir une nature secrète et sauvage. La petite fille vit ainsi une aventure qui modifiera sa vie et son attitude vis-à-vis de la nature et peut-être la nôtre.
Enfin, un bon film, très simple, qui ne parle pas de violence, ni de guerre, mais un film qui nous montre la nature et les animaux dans leurs habitats naturels. Film assez émouvant rappelle un peu le petit prince de Saint-Exupery, conte moral assez prenant, avec beaucoup de coeur, merveilleux moment d'émotion, véritable enchantement pour petits et grands.
Un merveilleux film dans lequel l'humain, la terre et l'animal fusionnent dans une nature à couper le souffle, compte tenu des cadrages. La beauté de ce film est morale et physique. Une morale bien dosée sans excès.
Ernest et Célestine
12 décembre 2012 ( 1h 19min )
Réalisé par
Benjamin Renner, Vincent Patar, Stéphane Aubier
Avec
Lambert Wilson, Pauline Brunner
Genre
Animation
Nationalité
Français , belge , luxembourgeois
A partir de 3 ans
4 prix et 9 nominations dans les festivals
Dans le monde conventionnel des ours, il est mal vu de se lier d'amitié avec une souris. Et pourtant, Ernest, gros ours marginal, clown et musicien, va accueillir chez lui la petite Célestine, une orpheline qui a fui le monde souterrain des rongeurs. Ces deux solitaires vont se soutenir et se réconforter, et bousculer ainsi l'ordre établi.
Ernest est un gros ours sans le sou qui vit en marge de la société du «Monde d'en haut ». Ce bougon au cœur tendre rêvait de devenir poète.
Les enfants ne seront pas les seuls à savourer ce délicieux dessin animé. Sa verve rigolote et poétique séduira, enchantera toutes les générations. La magie et la grâce du dessin artisanal, alliées à l'intelligence et l'humour du scénario (...) font de ce film d'animation français une pure merveille.
Ça change des "dessins animés" américains avec plein d'effet 3D et plus rien. L'histoire n'est pas très intéressante dans le fond. Ce qui va nous prendre, ce serait le message que prône le film; c'est-à-dire le respect de la différence, les scènes à moitié peintes et ces impressions de voir un tableau en mouvement.
Chaque personnage a sa propre personnalité. L'humour est présent, on ne s'ennuie pas.
Toy Story 3
Date de sortie : 14 juillet 2010 (1h 40min)
Réalisé par : Lee Unkrich
Avec Tom Hanks, Tim Allen, Michael Keaton
Genre : Animation, Aventure, Comédie
Nationalité : Américain
Synopsis :
A partir de 6 ans
Les créateurs des très populaires films Toy Story ouvrent à nouveau le coffre à jouets et invitent les spectateurs à retrouver le monde délicieusement magique de Woody et Buzz au moment où Andy s'apprête à partir pour l'université. Délaissée, la plus célèbre bande de jouets se retrouve... à la crèche ! Les bambins déchaînés et leurs petits doigts capables de tout arracher sont une vraie menace pour nos amis ! Il devient urgent d'échafauder un plan pour leur échapper au plus vite. Quelques nouveaux venus vont se joindre à la Grande évasion, dont l'éternel séducteur et célibataire Ken, compagnon de Barbie, un hérisson comédien nommé Larosse, et un ours rose parfumé à la fraise appelé Lotso.
Une totale réussite dans la conception du scénario des images agréables. Tous les âges y trouveront leur compte de sourires et d'émotions... Mon petit fils de 3 ans en a pleuré de savoir qu'Andy abandonnait ses jouets !
Bien plus qu'une suite : la conclusion logique, inévitable, déchirante de la saga des joujoux en images de synthèse. Toy Story 3 est une méditation poignante sur le temps qui passe.
Redoublant d'inventivité, ce troisième acte multiplie les rebondissements, assurant un suspense digne des meilleurs films de prison et d'évasion.
Le film est vraiment plaisant, il rend un peu nostalgique car on peut tous reconnaitre une situation qui a pu être la nôtre à la fin de notre enfance...On passe un bon moment !
Kirikou et la sorcière
1 h 10 min; A partir de 3 ans
Genre : Animation; film qui réussit à captiver petits et grand !
Réalisateur : Michel Ocelot
Casting : Theo Sebeko, Antoinette Kellermann, Fezele Mpeka,
Année : 1998
Pays: France
Intrigue, synopsis et détails: Le minuscule Kirikou nait dans un village d'Afrique sur lequel une sorcière, Karaba, a jeté un terrible sort : la source est asséchée, les villageois rançonnés, les hommes sont kidnappés et disparaissent mystérieusement. " Elle les mange ", soutiennent les villageois dans leur hantise. Karaba est une femme superbe et cruelle, entourée de fétiches soumis et redoutables. Mais Kirikou, sitôt sorti du ventre de sa mère, veut délivrer le village de son emprise maléfique et découvrir le secret de sa méchanceté.
Michel Ocelot, nous livre un dessin animé drôle et vif, divertissant avec intelligence. C' est un très beau cadeau de Noël pour les petits et leurs parents.
L'histoire nous immerge dans un monde où se mêlent fantaisie et poésie, des dessins splendides et des couleurs magnifiques. C'est un moment inoubliable, tant par son esthétique que son scénario; ce film touche !
Les Lumières de la ville
Comédie dramatique ( 01h30min ) - Date de sortie : 07/04/1931
De Charles Chaplin. Avec Charles Chaplin, Virginia Cherrill
Charlot vagabond vient en aide à une jeune fleuriste aveugle et se fait passer pour un homme riche. A force de travail il réunit assez d'argent pour que la jeune fille recouvre la vue.
Il est aimé par la jeune aveugle pour une personnalité qui n'est pas la sienne (un homme riche), presque ignoré lorsqu'il apparaît tel qu'en lui-même à la jeune fille qui a recouvré la vue.
Charles Chaplin nous offre un véritable chef-d’œuvre. Charlot, le vagabond nous amuse, distille quelques sons et des émotions intenses. Il a l’art de faire sourire ou rire et de nous émouvoir. Chaplin était déjà moderne dans son approche du muet. Et celui-ci à l’heure où le parlant commençait à s’imposer est d’une modernité incroyable. Tout est juste, une idée à chaque plan. Le combat de boxe par exemple ou la soirée sur la piste de danse avec le millionnaire sont des scènes remarquables.
Le long-métrage fut un succès public. L'art du burlesque y est porté à sa perfection, les scènes sont, à l'image du scénario, d'une indéniable subtilité.
Anne Sylvestre : Fabulettes
https://www.google.fr/search?q=Anne+Sylvestre+fabulettes&ie=utf-8&oe=utf-8&gws_rd=cr&ei=lfMgVd_rCMXwUpjYgMgB
Veux-tu monter dans mon bateau ?
http://www.youtube.com/watch?v=VherOwyfdzU
- Ton bateau, l'est pas beau.
Veux-tu monter dans mon bateau?
- L'est pas bien beau, mais l'y va sur l'eau.
Je l'y mettrai des voiles, (2x)
des blanches et puis des bleues, (2x)
je l'y mettrai des rames
pour qu'il avance mieux.
Je l'y mettrai des cages
avec des oiseaux bleus.
Je l'y mettrai des lampes
d'en bas jusqu'au plafond.
Je l'y mettrai des fleurs
pour que ça sente bon.
Je l'y mettrai le diable
pour qu'il te jette à l'eau.
- Je veux monter dans ton bateau.
Ton bateau, l'est très beau.
- Tu viendras pas dans mon bateau.
L'est bien trop beau pour t'emmener sur l'eau.
Dans ma fusée
http://www.youtube.com/watch?v=ed8ePBk4nuw
Dans ma fusée
J'ai rapporté
Des perles de lune
Une étoile brune
Et des papillons
Aussi beaux que ceux qui volent autour de ma maison.
Dans ma fusée
J'ai rapporté
Une fleur sauvage
Un oiseau en cage
Et des champignons
Aussi beaux que ceux qui poussent autour de ma maison
Dans ma fusée
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la première marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai que mon mouchoir, me le faut pour pleurer.
- Donnez votre mouchoir, plus jamais pleurerez.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la deuxième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai que ma barrette, mes cheveux vont tomber.
- Donnez votre barrette, je vous recoifferai.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la troisième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai que mes sandales, me les faut pour marcher.
Donnez donc vos sandales, nous avons balayé.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la quatrième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai plus que trois billes, les autres sont cassées.
- Donnez donc vos trois billes, nous aimons y jouer.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la cinquième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai plus que ma corde, mais j'aime bien sauter.
- Donnez donc votre corde, je vous la prêterai.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la sixième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je connais une histoire, je peux la raconter.
- Racontez votre histoire, nous aimons bien rêver.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la septième marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai que mon sourire, je vous le donnerai.
- Gardez votre sourire, ici tout le monde est gai.
Bel escalier, puis-je monter ?
- Mais oui, madame, il faut payer.
A la dernière marche que dois-je vous donner ?
- Donnez, donnez, Madame, tout ce que vous voudrez.
Je n'ai plus que mon cœur, après je n'ai plus rien.
- Donnez donc votre cœur, nous vous aimerons bien.
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