Civilisation américaine
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_%C3%89tats-Unis
Aspects physiques du pays
Les États Unis U.S.A. couvrent une aire d'environ 8 fois la superficie de la France.
Charles Dickens ( 1812-1870 )
C'était cet aspect habituel de nouveauté sur chaque objet évidemment. Tous les bâtiments paraissaient comme s'ils avaient été construits et peints ce matin et pouvaient être démolis le lundi sans qu'on en soit beaucoup inquiet.
Dans l'air du soir, chaque ligne aigüe semblait cent fois plus aigüe que jamais, les nettes colonnades de carton n'avaient pas plus de perspective qu'un pont chinois sur une tasse à thé, et apparaissait également bien calculé pour cet emploi. Les bords effilés des maisons dispersées semblaient couper le vent même comme s'il sifflait en les heurtant et de façon à l' envoyer hurlant de douleur sur son chemin avec un cri plus perçant qu'avant.
Les constructions légères de bois derrière lesquelles le soleil se couchait avec un éclat aussi lumineux faisait qu'il semblait si facile de voir à l'intérieur que l'idée de n'importe quel habitant, pouvant pénétrer par la vue pour s'y cacher d'un regard public ou capable de dérober quelque secret aux yeux du public n'était pas admissible pour un temps. Même là où un feu éclatant brillait à travers les fenêtres protégées de rideaux de quelque maison plus loin, il y avait cette impression qu'il avait été nouvellement allumé et d'un manque de chaleur et au lieu d'éveiller des pensées de chambre douillette, de visage lumineux, ceux qui recevaient les premiers la lumière autour du même foyer aux suspensions tièdes et colorées, recevaient une suggestive odeur de mortier neuf et de murs humides.
Les pionniers d'une nation
Les pèlerins de la nouvelle Angleterre
L'assaut des indiens
Les puritains
Le diable et Tom Walker
Intérêts conflictuels
Boston défie le roi
Washington à Valley Forge
L'armée britannique quitte New York
Le cannibale magnanime
Le fleuve
Le bateau à vapeur
Jeu
Servi
Sur le vieux chemin de l'Ouest
La ville de New York la nuit
La ville n'avait jamais semblé si belle comme elle apparaissait cette nuit. Pour la première fois, il vit que New York était plus sublime que la plupart des villes du monde, elle était la cité de la nuit.
Et même les cieux qui encadraient New York, la texture de la nuit elle-même, semblaient avoir l'architecture et le temps d'une qualité spécifique dans la cité. C'était, il le vit bien une cité moderne. l'ensemble de ses formes étaient verticales.
Là, tout était ciselé. Tout brillait comme lors d'un incendie, mais cependant brillait doucement en même temps. Il y avait toujours, dans ces nuits claires, au froid mordant, non seulement la structure d'acier, mais une touche d'Avril aussi.
Broadway la nuit
Des publicités qui proclament la valeur d'une voiture, d'un dentifrice et dans la nuit de gigantesques lettres pour le nom de cagarettes. La foule, la circulation, les bruits divers, piscine, orage, grues...
Le visage des gens sur le trottoir semble irréel. Des milliers de visages animés d'émotions: pas d'émotions vraiment réelles comme la faim, l' amour mais comme des masques que les lumières auraient peints sur le visage, les joues, les lèvres des femmes. Le rouge dominait sans doute mais bien des visages étaient jolis comme sur les couvertures des magazines : une parade de visages de couvertures de magazines...
San Francisco
San Francisco is le génie des cités américaines. Elle est complexe, ensemble d'une large vue, de flamboiements, de tendresse et de dureté, le grand père aux cheveux blancs dans la famille des cités américaines. C'est le fils prodigue. La cité qui fait tout et est toujours pardonnée à caude se son grand coeur, de son doux sourire, de son rire, de sa personnalité mystérieuse et imposante.
Ce n'est pas la cité la plus facile à aimer dans le monde. Elle semble froide, dure, laide, indifférente et en dehors du monde. Ce n'est pas une cité facile à connaître. Elle semble délirante et énergique, incohérente pour bien des choses qu'on a à en dire. Coeur brisé par de bien triste souvenirs. Vous marchez dans ses rues et sentez sa solitude et vous vous émerveillez du fait que la mémoire trouble son coeur.
La cité est froide, elle est dure, elle est laide, elle est indifférente. Mais en même temps, elle est aussi plus chaude que n'importe quelle autre cité, elle est plus douce, elle est plus belle, elle est plus tendre. C'est une cité " va comme je te pousse ". Elle est vraiment démocratique à l'intérieur de du cercle de ses maisons serrées comme autant de petits mondes : mondes de races, de classes. Il y a le monde de Chinatown ( la ville chinoise ) , celui italien de " North beach " Worlds. Worlds of races, as welle as worlds of classes. there is the whole Chinese world of Chinatown. The Italian world of the north Beach ( plage nord ), le monde russe du sud du marché, le monde noir autour de Sutter et Filmore.
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